Une ration mélangée, de la betterave et des couverts à pâturer pour le troupeau ovin vidéoArnaud Vanhoutte, éleveur de 900 brebis allaitantes dans l’Aisne, a mis en place un mélange complet réalisé en prestation de service par Tereos pour augmenter son autonomie protéique. Cette ration équilibrée à base d’ensilage d’herbe et de maïs, de pulpe surpressé, d’orge et de drêche de blé valorise les productions de l’exploitation. Cette ration complète les betteraves fourragères, l’herbe et le pâturage des couverts. En plus du gain économique, Arnaud a gagné en temps de travail.Cap Protéines
Au Gaec du Roudon, des fauches précoces et un mélange multi-espèce pour remplacer le tourteau vidéoA l’installation de Julien Thomas, le Gaec du Roudon, dans l’Allier, a pris la décision de récolter une partie de leurs fourrages plus tôt sous forme d’ensilage ou d’enrubannage. Auparavant, le système tout foin ne permettait pas d’avoir suffisamment de stocks et coûtait cher en tourteau pour équilibrer les rations. Julien a également été séduit par les prairies multi-espèces où six hectares sont implantés.Cap Protéines
Le mélange de vesce, avoine et orge aplatie pour engraisser les agneaux et ne plus acheter d’aliment vidéoAprès avoir essayé de produire des pois chiches dans les collines sèches des Alpes-de-Haute-Provence, Cédric Breissand produit son mélange de vesce, avoine et orge aplatie pour engraisser les agneaux en 130 jours. En plus de baisser le coût d’alimentation de 22 à 15 euros par agneau, cette autonomie en aliment est une fierté que l’éleveur ovin revendique auprès de ses clients en vente directe. « On n’achète plus que le sel et les camions ne viennent plus livrer l’aliment sur l’exploitation. » Cap Protéines
Le séchage en grange pour une meilleure autonomie fourragère vidéoJean-Baptiste Martin, éleveur de brebis laitière dans les montagnes sèches des Hautes-Alpes, cherche au maximum l’autonomie. Le Gaec Eïbans s’est doté d’un système de séchage en grange pour pouvoir aller chercher de l’herbe tôt au printemps et tard en automne. Pour cet élevage situé à 1 300 mètres d’altitude, le séchage en grange agrandit la fenêtre de fauche. Les fourrages ont énormément gagné en qualité et en appétence du fourrage.Cap Protéines
Un système repensé pour concilier agrandissement et autonomie alimentaire vidéoEn quête d’autonomie alimentaire pour son troupeau bovin allaitant de 120 mères, Jérôme Vaude, exploitant dans les Ardennes, a mis en œuvre différents leviers pour adapter son système de polyculture-élevage : réduction du chargement, réduction de la part d’ensilage de maïs, récolte d’ensilage d’herbe, mise en place de pâturage tournant et diversification fourragère en implantant des méteils, luzerne, trèfle…Cap Protéines
Des prairies riches en trèfle blanc et violet pour les chèvres laitières et les brebis allaitantes vidéoDans l'Aveyron, Germain et Virginie Albespy élèvent 300 chèvres et 130 brebis viande sur 68 hectares. Si la présence de maïs ensilage permet de sécuriser l’autonomie en fourrage grossier, l'autonomie en protéine n’est pas encore atteinte. La principale difficulté reste le sol acide et sableux du Ségala, peu adapté à la culture de la luzerne. Alors, le couple d’éleveurs adapte ses prairies à l'aide de mélanges multi-espèces qui placent le trèfle blanc et violet au centre de l'équation.Cap Protéines
Séchage en grange, mieux maîtriser les coûts vidéoFabien Molinier est éleveur de brebis laitière en agriculture biologique dans l’Aveyron. Chez lui, pas de course à la quantité de lait produit. Depuis 10 ans, il a arrêté le tourteau et ne travaille qu’avec du foin et des céréales. Grâce au séchage en grange, l’éleveur peut se targuer d’avoir une très bonne qualité de fourrage. Un virage qui, cumulé à une bonne maîtrise du pâturage, lui a permis de maîtriser ses coûts.Cap Protéines
Pâturage tournant : s’adapter jour après jour vidéoDans l’Aveyron, Pierre-Henri Lacombe élève 40 vaches laitières bios sur 66 hectares. L’éleveur suit le cycle de l’herbe et découpe les 25 hectares accessibles autour de la ferme en une petite trentaine de paddocks pour faire du pâturage tournant. L’herbe étant naturellement équilibrée, peu de concentrés sont achetés. Seules 4 à 5 tonnes de correcteurs azotés ou de soja bio sont acheté chaque année pour complémenter le maïs lors des trois mois d’hiver.Cap Protéines
Un pâturage dynamique et des dérobées pour une autonomie protéique vidéoDans le Calvados, Emmanuel Letellier élève 70 vaches laitières sur 115 hectares pour produire 457 000 litres de lait. Il cherche à produire des protéines à stocker pour l’hiver et à valoriser au maximum le pâturage en été. Il s’appuie pour cela sur les légumineuses, les trèfles en particulier, et sur le pâturage dynamique, piloté à l’œil ou à l’herbomètre. Il profite aussi de culture de dérobés (ray-grass italien, trèfles et vesce) entre les blés et le maïs.Cap Protéines
Le séchage en grange pour un fourrage et du cantal de qualité vidéoGrace au séchage en grange, le Gaec des Aubépines dans le Cantal récolte le « tourteau d’herbe », un fourrage de qualité qui leurs permets de respecter le cahier des charges de l’AOP cantal et d’obtenir les plus-values « lait cru » et « tout foin ». Par rapport à un système équivalent séchant le foin au sol, l’économie de concentré est estimée à 25 tonnes par an pour cette exploitation.Cap Protéines
Avec 150 vaches bio, du soja et de la féverole toastée localement vidéoEn Charente, le Gaec de la Grande Dennerie élève 150 vaches laitières sur 310 hectares. Avec le passage en bio en 2019, l’élevage est passé d’une ration à dominante maïs à une ration à dominante herbe. Pour compléter le pâturage tournant dynamique, l’enrubannage de luzerne ou de prairie ou l’ensilage de méteil ou de sorgho, les quatre associés font toaster leur soja et leur féverole par le toasteur mobile de Pasquier Vgt’al. Cap Protéines
Pâturage des couverts végétaux en système céréalier bio vidéoPatrick Forget et son épouse élèvent une troupe ovine de 500 brebis sur une ferme céréalière bio de Charente-Maritime. Une opportunité pour consommer les couverts et pour valoriser les luzernes. Les brebis consomment les couverts végétaux des 130 hectares de l’exploitation et des 350 ha d’un Gaec voisin. « Il n’y pas de broyeur à mettre derrière et pas de mauvaises graines », apprécie l’agriculteur. Les brebis consomment aussi de la fèverole et du trèfle qui pousse sous couvert de céréales.Cap Protéines
François Dubois cultive l'autonomie protéique à la ferme vidéoFrançois Dubois élève des Charolais à Blet dans le Cher. Son système en bio l'amène à acheter le moins possible à l'extérieur : il est autonome à 92 %. Pour assurer la part protéique dans la ration, il cultive de la luzerne qu'il coupe précocement en enrubannage. La double période de vêlage permet de mieux s'organiser et d'étaler le travail de soins aux animaux. La sortie des animaux est ainsi plus étalée dans le temps et les ventes mieux réparties.Cap Protéines
Fauche précoce et méteils pour améliorer la valeur en protéine des fourrages vidéoEn Corrèze, le Gaec Aubignac élève 56 vaches Limousines et leurs suites sur une superficie de 100 hectares. L’élevage cherche à produire de la protéine par ses fourrages pour équilibrer la ration hivernale des mères comprenant de l’ensilage de maïs. Pour cela, il s’appuie sur la mise en place de prairies multi-espèces et de méteils fourragers. Une fauche précoce des premières exploitations et la valorisation des coupes suivantes lui permettent d’assurer une autonomie en protéine de 89 %.Cap Protéines
Deux périodes de vêlage et des ressources diversifiées pour couvrir les besoins du cheptel vidéoDaniel et Romain Jarlot du Gaec du Petit Nanteux, en Côte d’Or, préfèrent avoir deux périodes de vêlage. Les vaches vêlant au printemps vont valoriser l’herbe de fin d’automne et de printemps et nécessiteront des apports alimentaires et protéiques moins importants sur la période hivernale. Autonome en protéines à 96 %, l’exploitation pratique le pâturage tournant, cultive de la luzerne, fabrique ses aliments à la ferme et a mis en place un ensilage de méteil.Cap Protéines
L'implantation de chicorée et de plantain dans les prairies temporaires vidéoL’implantation de chicorée et de plantain dans les prairies multi espèces permettent d’améliorer la production fourragère, notamment en période de sécheresse. Cela permet aussi d’améliorer la qualité de ses fourrages, plus riches en protéines, et donc de limiter la consommation de concentrés. L’EARL des Monts de Lascaux teste ces espèces pour ces vaches et taureaux de race limousine.Cap Protéines
Autonomie protéique et pâturage des chèvres vidéoAu Gaec des Cabrioles en Dordogne, Stéphanie Kaminski et Jean-Paul Predignac élèvent 150 chèvres bio sur 42 hectares. Défenseurs du pâturage des chèvres, ils produisent des fourrages appétents à base de luzerne, trèfle, sainfoin, vesce, sorgho ou herbe. Selon les saisons, les chèvres y pâturent 6 à 9 heures par jour au fil avant. Pour produire 900 kilos de lait par chèvre et par an, le Gaec distribue aussi un méteil grain à base de triticale, avoine, pois et féverole, à 17 à 18 % de MAT.Cap Protéines
Foin de luzerne, céréales et pâturage tournant pour un lait et des fromages 100 % locales vidéoÀ Alixan dans la Drôme, l’EARL les Pampilles cultive 14 hectares de luzerne, 6 hectares de prairies multi-espèces et 20 hectares de maïs, orge et blé pour nourrir les 120 chèvres saanen. L’objectif est d’être autonome en aliment. La luzerne est récoltée avec beaucoup de précaution pour garder des feuilles et une MAT de 18 à 20 % de MAT. Les chèvres pâturent au fil avant de fin février à fin septembre. Grace à l’irrigation, l’herbe reste verte et les éleveurs alternent pâture et fauche.Cap Protéines
Des parcours valorisés pour faire des économies d’aliments vidéoDans le Gard, Caroline et Alain Compan voient bien l’intérêt des parcours pour leur troupeau de 390 brebis laitières. En plus de leurs 110 ha de SAU où ils cultivent luzerne, sainfoin, herbe ou céréales, ils utilisent 270 hectares de parcours qui composent 40 % de l’ingestion des brebis en lactation de la mi-mai à août et couvrent 70 % des besoins à l’entretien en automne-hiver. « Les brebis se régalent et ne rentrent pas avec la faim après avoir pâturé les parcours », apprécie Alain Compan.Cap Protéines
« Avec le pâturage tournant dynamique, on réapprend à cultiver l’herbe » vidéoEn Gironde, le Gaec Agréé de Rival, exploitation en polyculture élevage en système veau sous les 75 mères limousines, a mis en place le pâturage tournant dynamique depuis 2018. Michael Massignani nous donne son témoignage sur cette pratique : « nous avons retrouvé du trèfle et de l’autonomie. Cela se traduit par des économies de concentrés et de fourrages avec un pâturage allongé d’un mois. Il a fallu accepter de lâcher les vaches plus tôt et bien organiser les paddocks. »Cap Protéines
« Brebis laitières : la gestion de l’herbe, pilier de l’autonomie protéique » vidéoÉleveur de brebis laitières en bio, Michel Rozé mise sur la gestion du stock et la qualité de son herbe pour renforcer l’autonomie protéique de l’exploitation. Il cultive des prairies multi-espèces riches en légumineuses tout en étant exigeant sur la récolte d'enrubannage ou de foin. Une mélangeuse permet d’optimiser la valeur alimentaire de la ration tout en économisant les correcteurs azotés. Avec environ 200 mères sur une SAU de 45 ha, Michel atteint une autonomie protéique de 83 %.Cap Protéines
Des tourteaux de colza fermiers pour les chèvres vidéoJérémie Chipault, éleveur fromager et laitier sur la ferme caprine de Diou dans l’Indre, utilise du tourteau de colza fermier depuis 2008. Il n'achète plus de concentré du commerce, hormis des minéraux. Avec le tourteau de colza, il respecte le cahier des charges AOP selles-sur-cher et valençay. Il connait la composition des aliments qu’il donne à ses chèvres, ce qui rassure sa clientèle. Il améliore ses taux et diminue son empreinte carbone et son coût alimentaire.Cap Protéines
« Une symbiose entre les ateliers végétales et animales » vidéoDans l’Indre, Gwen Parry élève 450 brebis allaitantes sans acheter d’aliments à l’extérieur grâce à 180 hectares, tout en bio. L’éleveur veut créer « une symbiose entre les ateliers de production végétale et l’atelier animal ». En plus des luzernes et des trèfles semés au printemps, il cultive de la féverole et du pois. En ingérant beaucoup de fourrages riches en protéines, les brebis ont une meilleure rumination, une meilleure santé et une production plus importante de lait pour les agneaux. Cap Protéines
Légumineuses, méteil et pâturage pour plus d’autonomie protéique du troupeau allaitant vidéoEn Haute-Loire, Bruno Ramousse élève 48 vaches allaitantes sur 78 hectares d’herbe, de céréales et de lentilles. Il a réduit le cheptel pour être autonome en fourrage à 100 % et en protéines à 92 %. Ses prairies multi-espèces sont riches en légumineuses. Il sème ses prairies sous couvert de méteil pour une implantation et une rotation plus rapide. Il compte aussi sur la luzerne enrubannée pour engraisser ses animaux. Cap Protéines
Associer autonomie maximale et résultats économiques vidéoEn Loire-Atlantique, le Gaec des Verdais produit un million de litres de lait avec 130 vaches et quatre associés. Pour Antoine Lebreton, « le Gaec vise une autonomie maximale grâce à des fourrages récoltées de très bonnes qualités ». Pour cela, il privilégie la qualité à la quantité en ensilant l’herbe tôt et en récoltant une partie du maïs sous forme d’épi. Le Gaec compte aussi sur le pâturage tournant et sur la production de luzerne déshydratée et de féverole extrudée.Cap Protéines
96 % d'autonomie protéique avec du pois, de la luzerne et un troupeau productif vidéoYoann et ses associés sont naisseurs-engraisseurs. Ils recherchent l’autonomie protéique et alimentaire pour plusieurs raisons : se dégager des revenus, être moins dépendants de l’extérieur, répondre aux attentes des consommateurs et ne pas acheter de concentrés et correcteurs azotés. Ils y parviennent grâce à leur travail sur leurs cultures (pois de printemps et luzerne), leurs prairies (trèfle) et leur troupeau (choix génétiques, productivité, âge au premier vêlage).Cap Protéines
Des brebis en plein air intégrale comme en Nouvelle-Zélande vidéoDans le Lot-et-Garonne, Jérôme et Joël Mandavy sont devenus des spécialistes de l’herbe et du pâturage. Les brebis sont calées sur le cycle de l’herbe avec des agnelages en février-mars. En hiver, un peu de foin est mis directement au sol (bale grazing). Ensuite, grâce à des clôtures efficaces et un réseau d’abreuvoirs, les brebis bio en plein air intégral changent de paddocks tous les jours. Un soin particulier est apporté aux prairies riches en luzernes, lotiers, chicorées ou trèfles blancs.Cap Protéines
Davantage de surfaces pâturées pour maîtriser les charges et gagner en autonomie vidéoEn passant en bio, la ferme des Cazelles a modifié son assolement en augmentant les surfaces pâturées par les vaches allaitantes. Autour des bâtiments, des paddocks de 40 ares sont pâturés pendant deux à trois jours par les 45 mères Blondes d’Aquitaine. En plus de ce pâturage tournant dynamique, la ferme a entrepris l’implantation de prairies multi-espèces et la culture de méteil et de luzerne dans un soucis de maîtrise des charges et d’autonomie fourragère et protéique.Cap Protéines
Conforter les prairies naturelles et temporaires pour les Aubracs de Lozère vidéoEn Lozère, le Gaec de Chantegrenouille élève 80 vaches allaitantes de race Aubrac sur 160 hectares, tout en herbe. Vincent Granier explique qu’ils cherchent de l’autonomie protéique aux vues des coûts des intrants et des matières premières qui augmentent. Sur leurs prairies naturelles équilibrées entre graminées et légumineuses, ils pratiquent le pâturage tournant avec des petits lots d’animaux. Sur les prairies temporaires, le Gaec veut améliorer l’herbe en ajoutant des trèfles violets.Cap Protéines
Gestion et valorisation du pâturage dans un élevage de brebis laitières de Lozère vidéoEn Lozère, Caroline et Charles André élèvent 434 brebis laitières sur 147 hectares. Si la principale raison de leur autonomie en protéines résulte des fourrages ventilés à base de légumineuses, le Gaec Salles André mise également sur le pâturage d’un mélange vesce-avoine, de prairies multi-espèces et des parcours durant les trois derniers mois de traite.Cap Protéines
Moins de charges et plus d’autonomie avec des agneaux engraissés à l’herbe et une bonne gestion de la prairie vidéoLe Gaec du Rodoir élève 250 brebis viande et de la volaille dans le Maine-et-Loire. Le troupeau de brebis pâture de mi-février à mi-juillet puis de mi-septembre à mi-décembre dans des paddocks d’un hectare environ. Denis Roulleau explique qu’il veut finir les agneaux à l’herbe le plus tôt possible pour éviter la sècheresse estivale. Pour cela, la moitié des agneaux naissent entre la mi-décembre et la mi-janvier.Cap Protéines
Prairie multi-espèces et race pâturante : un minimum de concentré ! vidéoEn Mayenne, Charlotte et Alexander Moriarty élèvent 400 brebis de race Poll Dorset en bio. Visant l’autonomie alimentaire, ils favorisent la part d’herbe pâturée dans la ration. Les prairies sont semées avec un mélange composé d’une quinzaine d’espèce dont de la chicorée. Les prairies sont fauchées pour récolter de l’enrubannage, utilisé en fin de gestation et en début de lactation.Cap Protéines
Un mash fermier broutard performant vidéoDans l'élevage bovin allaitant de Jean-Marc Chenut du Gaec du Limousin en Meurthe-et-Moselle, un aliment fermier fibreux est autoproduit pour complémenter les broutards et finir les vaches de boucherie. Depuis quatre ans, cet aliment est fabriqué à la mélangeuse avec un quart de luzerne, un quart d'épeautre, un quart de féverole, un quart d'orge et de la mélasse pour éviter la poussière. Avec cet aliment, le GMQ moyen de 1,350 kg par jour et par broutard.Cap Protéines
Du lupin jaune local riche en protéines pour les vaches bio vidéoDans le Morbihan, Claude Le Priol et Sylvie Postic élèvent 50 vaches montbéliardes et croisées en bio sur 80 ha dont 67 ha de prairies et 10 ha de lupin. En passant en bio, ils ont voulu assurer l’autonomie du troupeau, d’abord ave de l’herbe puis avec le lupin. Facile à cultiver en mélange ou en pur, le lupin jaune est bien digéré par les vaches et donne un beurre agréable et souple.Cap Protéines
Des agneaux à l'herbe avec des croissances rapides vidéoPatrice Guyard élève des brebis à Crux-la-Ville dans la Nièvre. Il a fait le choix de regrouper ses mises bas et de complémenter ses agneaux dès 15 jours pour les faire partir avant la sécheresse estivale. Un choix qui lui apporte un résultat économique intéressant et lui permet d'acheter le moins de concentrés possible.Cap Protéines
Un système pâturant pour produire du lait sans concentrés vidéoDans l’Oise, l’EARL MC2 a amélioré sa marge économique et son autonomie protéique grâce à un système tout herbe et pâturant. L’aménagement des clôtures, chemin et réseau d’eau a permis de mettre en place un pâturage tournant pour valoriser l’herbe au bon stade. Pour s’adapter à ce système 100 % herbe, le troupeau laitier est croisé en race kiwi et les vêlages sont groupés au printemps et à l’automne pour faire coïncider les pics de lactation une herbe riche en protéines.Cap Protéines
"Des prairies temporaires cultivées en alternance avec du méteil pour des fourrages de qualité" vidéoDominique Viallard élève des vaches montbéliardes dans le Puy-de-Dôme. Cet éleveur laitier bio mise sur des prairies temporaires de qualité et le séchage en grange pour être autonome en protéines à 65 %. Cultivateur d'herbe, il alterne prairies temporaires et méteil dans des rotations de huit ans. Avec 50 vaches laitières sur 120 hectares, le Gaec de Sauvadet a réalisé 133 000 euros d'EBE en 2021. Cap Protéines
Produire du soja toasté pour l'alimentation des brebis laitières vidéoLe Gaec Etcheberria élève environ 350 brebis laitières de race Manech tête rousse et une trentaine de vaches mères de race blonde d’aquitaine sur 75 hectares de SAU. Pierre et Maïté Couillet y cultive environ 5 hectares de soja qu'ils toastent dans une Cuma. "Le soja toasté rend la graine plus assimilable par la brebis", explique Pierre Couillet. Le soja toasté et broyé est intégré dans la ration depuis la fin de gestation à hauteur de 50 g par jour puis jusqu'à 250 g pendant la lactation.Cap Protéines
Plus de légumineuses pour équilibrer les rations et diminuer les problèmes chez les veaux vidéoEn 2015, une épidémie de diarrhées d’origine alimentaire affecte les veaux de Fabien Tissier en Saône-et-Loire. « Je manquais de fourrage de qualité pour équilibrer mes rations », observe l'éleveur qui met en place le pâturage tournant afin de mieux gérer son herbe. Il incorpore plus de légumineuses dans les mélanges de ses prairies et récolte aussi des parcelles de méteil fourrager pour augmenter ses stocks de fourrages. Avec une meilleure alimentation, la santé des veaux s’est améliorée.Cap Protéines
Dans l’élevage de charolaises de Thierry Préaud, une remise en question permanente vidéoÉleveur de 110 vaches charolaises en Saône-et-Loire, Thierry Préaud a commencé à tester le pâturage tournant sur des vaches suitées en 2014. Le résultat étant concluant sur les poids des animaux et son bilan fourrager, il décide de l’étendre au reste de l’exploitation. En quête d’autonomie et suite à des échanges avec d’autres agriculteurs, il met en place cinq hectares de méteil grain pour diminuer les coûts d’aliment achetés. En 2021, 17 hectares de méteil grain sont semés.Cap Protéines
Pâturage tournant et dérobées estivales pour un élevage naisseur- engraisseur autonome vidéoLa Ferme des Venelles, située dans les boucles de la Seine normande, est autonome en protéines pour son élevage bovin naisseur-engraisseur en race Aubrac. Différents leviers sont activés pour développer l’autonomie fourragère et protéique tout en s’adaptant au changement climatique : le pâturage tournant de prairies naturelles, des dérobées estivales résistantes à la sécheresse, des prairies multi-espèces et des méteils ensilés ou moissonnés.Cap Protéines
Lupin, méteil et pâturage tournant dynamique pour 150 vaches vidéoDans les Deux-Sèvres, le Gaec de l’Ouchette élève 150 vaches laitières sur 225 hectares de SAU. Les quatre associés cultivent du lupin, riche en protéines, pour les aplatir et nourrir le troupeau. Ils cultivent aussi un méteil mélangeant féverolle, pois, vesce, avoine et trèfle et donnant un fourrage entre 14,5 et 18 % de MAT pour 0,9 UF. Inspiré de la Nouvelle-Zélande, la technique du pâturage tournant dynamique est appliqué en profitant d’un parcellaire avantageux et d’aménagements entretenus.Cap Protéines
Valoriser la protéine sur un troupeau bovin vidéoJean-Pierre Audebeau du Gaec La Picoulée élève des poules pondeuses et 80 vaches allaitantes sur 145 hectares. En agriculture biologique depuis 2000, il cultive un méteil grain avec un mélange de pois, de féverole et de blé. Avec deux périodes de vêlages, le Gaec élève des bœufs avec les veaux nés au printemps. Il réalise des enrubannages des premières coupes de luzerne et de prairie multi-espèces afin d’avoir des fourrages riches en protéines.Cap Protéines
Les prairies multi-espèces, base de l’autonomie protéique vidéoDeux éleveurs laitiers biologiques de la Vienne et des Deux-Sèvres témoignent de l’usage des prairies multi-espèces comme gage d’autonomie protéique dans leur système. Le focus est amené sur le choix des espèces, la proportion de légumineuses, les modes d’exploitation et d’implantation.Cap Protéines
La diversification fourragère, un levier d’autonomie pour les bovins allaitants vidéoPour Matthieu Longuet, jeune éleveur de Blonde d’Aquitaine dans la Somme, l’autonomie alimentaire et protéique doit passer par un gain de temps et une facilité de distribution tout en restant économique et viable sur la globalité de son exploitation. Il a fait le choix de développer les semis sous couvert de sainfoin ou de luzerne.Cap Protéines
La luzerne pour réduire les achats de tourteaux vidéoFranck et Fabien Beges sont éleveurs de bovins dans le Tarn. Au Gaec de la Grézigné, la luzerne est appréciée pour réduire la dépendance vis-à-vis du tourteau de soja. La plante est bien adaptée à la région et donne trois coupes jusqu’en juillet. Ensuite, elle est pâturée, une heure le matin et une heure le soir, pendant deux mois à l’automne. Econome en intrant, la luzerne a permis de réduire de 10 tonnes les achats de tourteaux pour un troupeau de 90 mères Blondes d’aquitaines.Cap Protéines
L’autonomie des brebis grâce à la luzerne et aux féveroles vidéoDans le Tarn, Émile Fabries élève 600 brebis allaitantes sur 120 hectares. Pour développer son autonomie protéique, il a augmenté la surface de luzerne et remplacé le tourteau de soja acheté par de la féverole. « C’est une culture simple à conduire et je me régale à entendre les brebis croquer les féveroles comme du gâteau ! » Le troupeau de brebis est autonome en protéines à 100 % et l’EARL Escarliot veut atteindre ce niveau pour l’élevage des agneaux.Cap Protéines
De l’herbe récoltée tôt et séchée en grange pour réduire de moitié le tourteau de soja des vaches laitières vidéoDans le Tarn, le Gaec de la Révéillé cultive 95 hectares de prairies pour alimenter 70 vaches laitières. À partir de 2019, le Gaec est progressivement passé d’une ration à base d’ensilage de maïs à celle de foin séché en grange. La facture de tourteau soja a été réduite de moitié en passant de 80 à 40 tonnes achetées par an. L’herbe est récoltée tôt pour profiter de la richesse en matière azotée. La qualité des prairies est maintenue par des sursemis réguliers après un travail du sol léger.Cap Protéines
Le pâturage des agnelles pour améliorer l’autonomie protéique de l’atelier ovin lait vidéoAu Gaec de la Manentié dans le Tarn, les genets et les fougères ont laissé la place au dactyle, au ray-grass et au trèfle. Les agnelles de cet élevage 600 brebis laitières de race Lacaune y ont accès jour et nuit, du 15 mars environ jusqu’à la mise bas. Les parcelles sont divisées en 12 parcs pour deux à trois jours de pâturage tournant par parc. Grace à cette gestion de l’herbe et à des concentrés maison à base de blé, orge, triticale et pois, la ration des agnelles est autonome à 100 %.Cap Protéines
Trois cultures pour trouver de l’autonomie dans l’alimentation des ovins vidéoDans le Vaucluse, le Gaec l’Agneau des Canards élève 800 brebis Mérinos d’Arles. Les deux associés cultivent six hectares d’avoine d’hiver pour faire pâturer les brebis l’hiver et au printemps. Ils cultivent aussi des méteils vesce-avoine récoltés en foin et en enrubanné. « Ça nous remplit le hangar et ça fait des montées de lait exceptionnelles pour les brebis en lactation », apprécie Luc Raymond. Le mélange luzerne-fétuque est valorisé en deux à trois coupes de foin et en pâturage l’hiver. Cap Protéines
Du soja et des protéagineux auto-produits pour éviter l’OGM vidéoMathieu Godreau, éleveur de 70 vaches laitières sur 190 hectares en Vendée, cultive du soja, du méteil et d’autre protéagineux (féverole, lupin…), d’abord par conviction pour éviter les soja OGM puis pour répondre au cahier des charges de sa laiterie. Il fait toaster, laminer et fabriquer ses aliments à façon. 4 à 5 hectares de soja sont cultivés chaque année. « Le soja est semé début mai, c’est la levée qui est primordiale », explique l’éleveur qui produit 25 quintaux par hectare en moyenne.Cap Protéines
« La féverole et des fourrages de légumineuses pour alimenter mes brebis toute l’année » vidéoOlivier Brouard est autonome en protéines à 92 % grâce à la luzerne, aux trèfles, aux mélanges prairiaux riches en trèfle et à la féverole produite sur l’exploitation. De quoi nourrir les 250 brebis viande de cette exploitation de 328 hectares surtout tournée vers la culture des céréales et des oléoprotéagineux. Pour faire du bon foin de luzerne, l’agriculteur veille à andainer de bonne heure afin de garder les feuilles riches en protéines.Cap Protéines
Des chèvres autonomes en aliments pour réduire les charges vidéoChristophe Favard élève 200 chèvres sur 60 hectares dans la Vienne. Grace à la mise en place de différentes pratiques, il est aujourd’hui autonome pour l’alimentation du troupeau. L’implantation de prairies multi-espèces et la construction d’un séchoir en grange lui offrent des fourrages de très bonne qualité. Cela permet de réduire les quantités distribuées de concentrés autoproduits que sont le méteil, le maïs et la betterave.Cap Protéines
Des arbustes et des prairies adaptés aux six mois de saison sèche vidéoEn Martinique, les moutons du Foyer de charité pâturent des prairies adaptées au territoire. La saison sèche, appelée Carême, peut durer six mois, de janvier à juin. L’élevage a donc dû s’adapter en installant des espèces acclimatées et résistantes aux périodes arides. L’élevage a implanté des graminées il y a plus de 20 ans et, aujourd’hui, il possède une parcelle dite améliorées. Les brebis profitent aussi des protéines contenues dans les légumineuses arbustives.Cap Protéines
En Martinique, valoriser les protéines des légumineuses locales vidéoMarcel Hierso, fort de ses 30 ans d’expérience dans l’élevage bovin naisseur en Martinique, a implanté des légumineuses locales et importées. Grace à ces légumineuses tropicales, l’éleveur ne fertilise plus ses prairies. « Ce qu’il manque sur nos parcelles, c’est de la matière azotée. Il faut se diriger vers une amélioration de nos prairies pour avoir un maximum d’azote ». Cap Protéines
Des légumineuses fourragères à la Réunion vidéoL’EARL Fond Mango élève 60 vaches laitières sur 35 hectares à la Réunion. Comme ils ne peuvent pas cultiver de blé ou de soja pour produire des protéines, ils ont semé un mélange de légumineuses (luzerne et trèfle violet) et de graminées (fétuque, dactyle, ray-grass hybride) en remplacement du kikuyu. La prairie a perdu en pousse le premier hiver mais, maintenant, il permet de produire 23 kilos de lait par jour et par vache contre 18 kilos auparavant.Cap Protéines
Mieux gérer les prairies à La Réunion vidéoA La Réunion, l'EARL Piton Mahot élève 120 vaches laitières en se basant sur un pâturage tournant bien conduit. « Les vaches sont 365 jours de l’année en pâture », explique Dominique Renneville. En complément du kikuyu, la graminée tropicale locale, l’EATL Piton Mahot a ajouté des ray-grass, dactyles et trèfles blancs pour former des prairies multi-espèces riches en protéines. Cette implantation peut être réalisée par un sursemis de graminées et légumineuses. Cap Protéines
Marie et Maxime ou la coopération céréaliers-éleveurs vidéoMarie Auprêtre, éleveuse de bovins laitiers, et son voisin Maxime Quenette se sont entendus pour coopérer sur un échange paille-fumier et un échange de luzerne sur pied contre de la main d'œuvre et du matériel. La luzerne est valorisée par le troupeau laitier et le céréalier s'y retrouve techniquement, agronomiquement et économiquement. Chacun note dans un carnet de suivi mais les agriculteurs se font confiance et échangent régulièrement.Arpeege
Du méteil fourrager pour alimenter les vaches allaitantes dans une rotation céréalières avec ray-grass résistants vidéoDans sa ferme céréalière de 300 hectares, Brice Bousquet a initié de nouvelles rotations avec du méteil fourrager de triticale, pos et vesce pour alimenter son atelier de vaches allaitantes Limousines. L'ensilage du méteil permet d'exporter les graines de ray-grass. Détail des rotations et mis en œuvre technique. Chambre régional d'agriculture d'Occitanie
Une production fourragère optimisé par le semis direct du méteil et le sorgho fourrager vidéoMikael Razou élève 50 mères limousines sur 170 hectares. Avec une rotation orge, sorgho fourrager, méteil fourrager (féverole, avoine, vesce) puis tournesol, il optimise la production fourragère tout en limitant l'utilisation de produit phytosanitaire. Chambre régional d'agriculture d'Occitanie
Du méteil fourrager enrubanné pour assurer l'autonomie alimentaire et diminuer la pression adventice vidéoDans l'Aude, le Gaec Broma est passé en bio en 2016. Pour produire un aliment riche en énergie et en protéagineux pour sa soixantaine de vaches laitières, il sème un méteil de blé, vesce et pois qui est coupé et enrubanné début mai. Chambre régional d'agriculture d'Occitanie
Les feuilles des légumineuses préservées par un andaineur à tapis vidéoAvec 98 vaches Salers dans le Cantal, le Gaec de Combelles implante beaucoup de légumineuses pour équilibrer les rations. Pour le mélange de luzerne-dactyle, le déchaumeur passe juste après la récolte des céréales puis 15 jours après, avant le semis. La luzerne lève ensuite en septembre puis résiste bien à la sécheresse les années suivantes. Lors de la réalisation des foins, les fourrages sont manipulés avec un andaineur à tapis pour conserver au maximum les feuilles riches en protéines. Chambre d'agriculture du Cantal
L'autonomie protéique avec le méteil vidéoCédric André élève 270 chèvres sur 100 hectares. Suite aux sécheresses, il cultive des méteils fourragers composés de blé, vesce, pois et trèfle violet. De quoi baisser son coût alimentaire et devenir plus autonome.Chambre d'agriculture de Charente
Stocks sécurisés et autonomie protéique du cheptel de souche grâce à plusieurs fourrages complémentaires vidéoDans le Cher, Thomas et Maxime Combette ne veulent plus être dépendant des aliments du commerce pour alimenter son cheptel bovin allaitant. La ration tourne maintenant autour de la luzerne, du ray-grass d'Italie, de méteil et de maïs ensilage. Prés de 10 000 euros ont été économisés et les GMQ des laitonnes dépassent les 1 000 g par jour. Herbe & Fourrages CVL
Bertrand Rouquie, éleveur laitier autonome en protéines vidéoBertrand Rouquie, éleveur bovin laitier en Dordogne, est quasiment autonome en protéines pour produire 420 000 litres de lait dont 230 000 litres transformés en fromage. Avec un robot de traite et un parcellaire morcelé, les vaches sont alimentées quotidiennement par de l’herbe fraîche avec un affouragement en vert. La ration hivernale associe de la luzerne, du maïs et du lin avec un coût limité à 110 à 120 € les 1 000 l. Le concentré de colza est remplacé par du lupin autoproduit.Chambre d'agriculture de la Dordogne
Pierre Trémouille, éleveur de bovin viande vidéoPierre Trémouille, éleveur de bovin viande et de veau de boucherie en Dordogne, cultive 120 hectares d’herbe, 20 de luzerne et 20 de céréales, maïs ou méteil. Il a réduit le coût de la ration à 2 euros par animal et par jour en remplaçant l’achat de correcteur par l’implantation de luzerne et de mélange céréale-protéagineux. Les vaches allaitantes sont au pâturage du 25 mars au 1er décembre. Chambre d'agriculture de la Dordogne
Une appli pour mieux gérer ses prairies, top ! vidéoAntoine Thibault élève une soixantaine de vaches laitières et une cinquantaine de génisses dans l'Eure. Depuis un an, cet éleveur Youtubeur utilise un herbomètre et l'application HappyGrass. "Un pâturage bien mené, c'est moins de besoins de maïs à coût égal et moins de maïs, c'est plus de cultures de ventes. La promenade dans ses prairies par un petit matin de printemps pour évaluer ses stocks d'herbe fait partie des tâches les plus rentables de la ferme."Agriskippy la ferme les vaches
Prairies multi-espèces et intercultures pour faire pâturer ses brebis toute l'année vidéoLe Gaec de la Bourgetière veut faire pâturer ses 620 brebis toute l'année. Christophe Avisse fait tourner ses lots dans des parcs avec un mélange de ray-grass anglais, trèfle blanc, lotier, plantain et fétuque des prés. Il utilise aussi les couverts, les repousses et des mélanges céréales-protéagineux. Il apprécie le plantain pour sa production et ses bonnes valeurs nutritives.Herbe & Fourrages Centre-Val de Loire
Des aménagements parcellaires au service de l'éleveur vidéoNicolas Rubin, éleveur laitier en Ille-et-Vilaine, témoignage des aménagements parcellaires qu'il a réalisé sur son exploitation. Enjeu permanent en production laitière de par sa configuration et son organisation, le parcellaire permet aux éleveurs d’optimiser la conduite du pâturage, d’améliorer le confort des animaux et les conditions de travail. Affectation des surfaces, découpage des paddocks, chemin, abreuvement, boviduc… tout un panel de solutions est possible.Chambre d'agriculture de Bretagne
Engraisser des réformes à l'herbe vidéoLe Gaec de Sévres engraisse une soixantaine de vaches de réforme chaque année. Elle utilise pour cela des fourrages à plus de 15 % de protéines et pas de correcteurs azotés. Dans les prairies permanentes, les fauches précoces ont fait apparaitre des légumineuses qui donnent des fourrages de qualité. Herbe & Fourrages Centre-Val de Loire
Les méteils, un levier pour combiner autonomie alimentaire et réduction des phytos vidéoPhilippe Routet est naisseur-engraisseur de bovins allaitants. Il a intégré des méteils céréales-protéagineux dans sa rotation. Il apprécie les bienfaits agronomiques de ce mélange d’espèces avec une forte réduction des herbicides et des fongicides et plus d’autonomie alimentaire en polyculture-élevage.Chambre d'agriculture Centre-Val de Loire
L'autonomie en agriculture biologique vidéoJean-Michel Bouchard élève 95 vaches laitières jersiaises et prim'holstein en Isère. En bio depuis 2018, il cultive 100 hectares de prairies, 65 hectares de luzerne et 20 hectares de maïs-sorgho. "On essaie de travailler en autonomie", explique l'éleveur qui n'achète qu'une dizaine de tonnes de soja par an. En anticipant ses besoins, il parvient à s'approvisionner en semences bio. Semae
Mélanges protéagineux et autonomie protéique vidéoDeux éleveurs bovins laitiers du Jura et un éleveur bovin allaitant bio de Saône-et-Loire détaillent leur utilisation des mélanges céréales-protéagineux en grain. Des méteils intéressants pour l'autonomie, le rendement et la biodiversité.Chambre régionale d'agriculture de Bourgogne-Franche-Comté
Combiner pâturage, affouragement en vert et cultures dérobées vidéoLe Gaec de la ferme de Bréviande combine pâturage, affouragement en vert et cultures dérobées pour alimenter les 110 chèvres bios de cet élevage du Loir-et-Cher. Les prairies multi-espèces sont pâturées au fil pour avoir une meilleure gestion du parasitisme. L'herbe est aussi valorisé à travers l'affouragement en vert de prairies. Des cultures dérobées de trèfle d'Alexandrie ou du trèfle incarnat permettent d'être résilient face aux sécheresse.
Herbe & Fourrages Centre-Val de Loire
Achat de luzerne sur pied en élevage caprin vidéoPour nourrir leurs 90 chèvres, les deux éleveuses de l'EARL du Fay n'ont que 10 hectares en propre. Mais elle se sont entendus avec des cultivateurs voisins pour leur acheter près de 16 hectares de luzerne sur pied. De quoi produire un fourrage de qualité qui permet une production de 900 kilos de lait par chèvre et par an avec seulement 380 g de concentrés par litre. Le cultivateur s'y retrouve aussi agronomiquement. Herbe & Fourrages Centre-Val de Loire
Sécuriser son système fourrager en élevage laitier avec des mélanges céréaliers protéagineux vidéoAntoine Lebreton du Gaec du Verdais en Loire-Atlantique témoigne sur la conduite de ses méteils et des avantages qu'il y trouve. Son système laitier bio en zone séchante produit un million de litres de lait. L'élevage cultive quatre type de méteils ou mélanges fourragers.Chambre d'agriculture des Pays de la Loire
Un séchoir en Cuma vidéoLa Cuma des Volontaires s'est doté d'un grand séchoir à foin et à céréales pour assurer l'autonomie alimentaire et protéique des élevages en gardant la traçabilité des aliments. Les légumineuses, herbe, colza ou céréales des adhérents sont ventilés par un air réchauffé au soleil dans huit cellules différentes puis mis en bottes avant d'être réexpédiés dans les élevages.FRCuma Ouest (Luzco)
Implanter à l'automne une légumineuse sous méteil pour sécuriser la production de l'année suivante vidéoDans le Loiret, Guillaume Gressin de l'EARL de la Chévrerie Les Pillards a commencé à implanter du trèfle sous couvert de méteil suite à une année de sécheresse. A l'automne, un premier passage permet de mettre les semences de triticales, vesces et pois à 2-3 cm de profondeur. Un second place les graines de trèfles violet en surface avant un roulage. De quoi produire du méteil de qualité au printemps puis des légumineuses par la suite.Herbe & Fourrages Centre-Val de Loire
Autonomie protéique en élevage ovin vidéoCe film a été réalisé en mai 2016 chez un éleveur ovin du Maine-et-Loire dans le cadre du programme SOS Protein. Marc Humeau est éleveur de 500 brebis dans le Maine-et-Loire. Il privilégie l'herbe pour limiter la complémentation protéique. Pour cela, il a choisi une race herbagère et ses brebis agnellent au printemps, au moment de la pousse de l'herbe. Il ressème régulièrement ses prairies en mélange et avec du colza fourrager et, bientôt, de la chicorée et du plantain.Vegepolys Valley
Sécuriser son système fourrager en élevage laitier avec des prairies sous couvert de méteil vidéoAymeric Sabin, éleveur de 65 vaches laitières bio en Mayenne, explique comment il a réussi à atteindre l'autonomie azotée grâce à la prairie sous couvert de méteil. Chambre d'agriculture des Pays de la Loire
Performances économiques et environnementales d'une ferme herbagère en Pays de la Loire vidéoEstelle est éleveuse de vache laitière en système herbager en Mayenne. Dans cette vidéo du Civam, elle nous explique ce qui fait la force de son système et ce que lui permet d’allier économie, autonomie et performance environnementale. « Dans mon système, j'ai pas mal de prairies que j'essaie de faire pâturer au maximum par mes 40 Normandes. Le système herbager me permet de réduire mes charges alimentaires, les frais de mécanisation, vétérinaires et de cultures. »Civam Pays de la Loire
Mélange de co-produits : un coup de boost pour la marge alimentaire vidéoLe Gaec de Grimaneau raisonne l'autonomie alimentaire à l'échelle du territoire par l'utilisation de coproduits issus de l'industrie alimentaire. Pour nourrir le troupeau de 115 vaches laitières et produire 1,1 million de litres de lait, les coproduits sont mélangés deux fois par an puis stockés en silo par voie humide. Avec ce mélange stable et économique, les résultats laitiers sont bons et l'élevage est autonome à 95 % à l'échelle de la région.Arpeege
Luzerne et bonnes performances d'engraissement vidéoDepuis qu'il a remplacé une partie du colza par des méteils et de la luzerne, le Gaec Bayard, dans la Meuse, produit une viande bovine "Made in Rembercourt". Lie-Loïc Bayard partage ses conseils pour semer, fertiliser, récolter et distribuer la luzerne. "La luzerne a des rendements corrects, même en année sèche, et la valeur alimentaire est assez régulière. Les performances sont les mêmes qu'avec une ration sèche à base de céréales et d'aliments du commerce ". Arpeege
Comment répondre à l'autonomie protéique sur les exploitations en polyculture-élevage ? L'exemple de l'exploitation agricole des Fontaines (71) vidéoL'exploitation agricole de Fontaines a modifié son système à base de maïs ensilage et achat de correcteur azoté pour réduire sa dépendance aux intrants. Les 70 vaches laitières montbéliardes sont désormais alimenté par de l'ensilage de dérobées riche en protéines. La ferme y voit des intérêts économiques, zootechniques et agronomiques. PSDR ProSys et PSDR Poeete
Autonomie protéique en élevage bovin viande vidéoLe Gaec Vital rassemble trois frères qui élèvent 210 vaches allaitantes charolaises. Ils ont semé du trèfle incarnat dans du ray-grass hybride et pratiquent le pâturage tournant. Ce film a été réalisé en mai 2016 chez un éleveur vendéen, dans le cadre du programme SOS Protein.
Vegepolys Valley
Gestion de prairies riches en légumineuses vidéoGrace au trèfle, Claude Thomas achète peu de concentrés pour ces vaches laitières et allaitantes. Ses prairies vosgiennes associent soit du ray-grass et du trèfle, soit un mélange multiespèce, soit du trèfle pur implanté sous un couvert d'avoine. De quoi faire rimer autonomie et économie. Autoprot
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