Pâturage tournant : s’adapter jour après jour vidéoDans l’Aveyron, Pierre-Henri Lacombe élève 40 vaches laitières bios sur 66 hectares. L’éleveur suit le cycle de l’herbe et découpe les 25 hectares accessibles autour de la ferme en une petite trentaine de paddocks pour faire du pâturage tournant. L’herbe étant naturellement équilibrée, peu de concentrés sont achetés. Seules 4 à 5 tonnes de correcteurs azotés ou de soja bio sont acheté chaque année pour complémenter le maïs lors des trois mois d’hiver.Cap Protéines
Un pâturage dynamique et des dérobées pour une autonomie protéique vidéoDans le Calvados, Emmanuel Letellier élève 70 vaches laitières sur 115 hectares pour produire 457 000 litres de lait. Il cherche à produire des protéines à stocker pour l’hiver et à valoriser au maximum le pâturage en été. Il s’appuie pour cela sur les légumineuses, les trèfles en particulier, et sur le pâturage dynamique, piloté à l’œil ou à l’herbomètre. Il profite aussi de culture de dérobés (ray-grass italien, trèfles et vesce) entre les blés et le maïs.Cap Protéines
Le séchage en grange pour un fourrage et du cantal de qualité vidéoGrace au séchage en grange, le Gaec des Aubépines dans le Cantal récolte le « tourteau d’herbe », un fourrage de qualité qui leurs permets de respecter le cahier des charges de l’AOP cantal et d’obtenir les plus-values « lait cru » et « tout foin ». Par rapport à un système équivalent séchant le foin au sol, l’économie de concentré est estimée à 25 tonnes par an pour cette exploitation.Cap Protéines
Avec 150 vaches bio, du soja et de la féverole toastée localement vidéoEn Charente, le Gaec de la Grande Dennerie élève 150 vaches laitières sur 310 hectares. Avec le passage en bio en 2019, l’élevage est passé d’une ration à dominante maïs à une ration à dominante herbe. Pour compléter le pâturage tournant dynamique, l’enrubannage de luzerne ou de prairie ou l’ensilage de méteil ou de sorgho, les quatre associés font toaster leur soja et leur féverole par le toasteur mobile de Pasquier Vgt’al. Cap Protéines
Associer autonomie maximale et résultats économiques vidéoEn Loire-Atlantique, le Gaec des Verdais produit un million de litres de lait avec 130 vaches et quatre associés. Pour Antoine Lebreton, « le Gaec vise une autonomie maximale grâce à des fourrages récoltées de très bonnes qualités ». Pour cela, il privilégie la qualité à la quantité en ensilant l’herbe tôt et en récoltant une partie du maïs sous forme d’épi. Le Gaec compte aussi sur le pâturage tournant et sur la production de luzerne déshydratée et de féverole extrudée.Cap Protéines
Du lupin jaune local riche en protéines pour les vaches bio vidéoDans le Morbihan, Claude Le Priol et Sylvie Postic élèvent 50 vaches montbéliardes et croisées en bio sur 80 ha dont 67 ha de prairies et 10 ha de lupin. En passant en bio, ils ont voulu assurer l’autonomie du troupeau, d’abord ave de l’herbe puis avec le lupin. Facile à cultiver en mélange ou en pur, le lupin jaune est bien digéré par les vaches et donne un beurre agréable et souple.Cap Protéines
Un système pâturant pour produire du lait sans concentrés vidéoDans l’Oise, l’EARL MC2 a amélioré sa marge économique et son autonomie protéique grâce à un système tout herbe et pâturant. L’aménagement des clôtures, chemin et réseau d’eau a permis de mettre en place un pâturage tournant pour valoriser l’herbe au bon stade. Pour s’adapter à ce système 100 % herbe, le troupeau laitier est croisé en race kiwi et les vêlages sont groupés au printemps et à l’automne pour faire coïncider les pics de lactation une herbe riche en protéines.Cap Protéines
"Des prairies temporaires cultivées en alternance avec du méteil pour des fourrages de qualité" vidéoDominique Viallard élève des vaches montbéliardes dans le Puy-de-Dôme. Cet éleveur laitier bio mise sur des prairies temporaires de qualité et le séchage en grange pour être autonome en protéines à 65 %. Cultivateur d'herbe, il alterne prairies temporaires et méteil dans des rotations de huit ans. Avec 50 vaches laitières sur 120 hectares, le Gaec de Sauvadet a réalisé 133 000 euros d'EBE en 2021. Cap Protéines
Lupin, méteil et pâturage tournant dynamique pour 150 vaches vidéoDans les Deux-Sèvres, le Gaec de l’Ouchette élève 150 vaches laitières sur 225 hectares de SAU. Les quatre associés cultivent du lupin, riche en protéines, pour les aplatir et nourrir le troupeau. Ils cultivent aussi un méteil mélangeant féverolle, pois, vesce, avoine et trèfle et donnant un fourrage entre 14,5 et 18 % de MAT pour 0,9 UF. Inspiré de la Nouvelle-Zélande, la technique du pâturage tournant dynamique est appliqué en profitant d’un parcellaire avantageux et d’aménagements entretenus.Cap Protéines
Les prairies multi-espèces, base de l’autonomie protéique vidéoDeux éleveurs laitiers biologiques de la Vienne et des Deux-Sèvres témoignent de l’usage des prairies multi-espèces comme gage d’autonomie protéique dans leur système. Le focus est amené sur le choix des espèces, la proportion de légumineuses, les modes d’exploitation et d’implantation.Cap Protéines
De l’herbe récoltée tôt et séchée en grange pour réduire de moitié le tourteau de soja des vaches laitières vidéoDans le Tarn, le Gaec de la Révéillé cultive 95 hectares de prairies pour alimenter 70 vaches laitières. À partir de 2019, le Gaec est progressivement passé d’une ration à base d’ensilage de maïs à celle de foin séché en grange. La facture de tourteau soja a été réduite de moitié en passant de 80 à 40 tonnes achetées par an. L’herbe est récoltée tôt pour profiter de la richesse en matière azotée. La qualité des prairies est maintenue par des sursemis réguliers après un travail du sol léger.Cap Protéines
Du soja et des protéagineux auto-produits pour éviter l’OGM vidéoMathieu Godreau, éleveur de 70 vaches laitières sur 190 hectares en Vendée, cultive du soja, du méteil et d’autre protéagineux (féverole, lupin…), d’abord par conviction pour éviter les soja OGM puis pour répondre au cahier des charges de sa laiterie. Il fait toaster, laminer et fabriquer ses aliments à façon. 4 à 5 hectares de soja sont cultivés chaque année. « Le soja est semé début mai, c’est la levée qui est primordiale », explique l’éleveur qui produit 25 quintaux par hectare en moyenne.Cap Protéines
Des légumineuses fourragères à la Réunion vidéoL’EARL Fond Mango élève 60 vaches laitières sur 35 hectares à la Réunion. Comme ils ne peuvent pas cultiver de blé ou de soja pour produire des protéines, ils ont semé un mélange de légumineuses (luzerne et trèfle violet) et de graminées (fétuque, dactyle, ray-grass hybride) en remplacement du kikuyu. La prairie a perdu en pousse le premier hiver mais, maintenant, il permet de produire 23 kilos de lait par jour et par vache contre 18 kilos auparavant.Cap Protéines
Mieux gérer les prairies à La Réunion vidéoA La Réunion, l'EARL Piton Mahot élève 120 vaches laitières en se basant sur un pâturage tournant bien conduit. « Les vaches sont 365 jours de l’année en pâture », explique Dominique Renneville. En complément du kikuyu, la graminée tropicale locale, l’EATL Piton Mahot a ajouté des ray-grass, dactyles et trèfles blancs pour former des prairies multi-espèces riches en protéines. Cette implantation peut être réalisée par un sursemis de graminées et légumineuses. Cap Protéines
Marie et Maxime ou la coopération céréaliers-éleveurs vidéoMarie Auprêtre, éleveuse de bovins laitiers, et son voisin Maxime Quenette se sont entendus pour coopérer sur un échange paille-fumier et un échange de luzerne sur pied contre de la main d'œuvre et du matériel. La luzerne est valorisée par le troupeau laitier et le céréalier s'y retrouve techniquement, agronomiquement et économiquement. Chacun note dans un carnet de suivi mais les agriculteurs se font confiance et échangent régulièrement.Arpeege
Du méteil fourrager pour alimenter les vaches allaitantes dans une rotation céréalières avec ray-grass résistants vidéoDans sa ferme céréalière de 300 hectares, Brice Bousquet a initié de nouvelles rotations avec du méteil fourrager de triticale, pos et vesce pour alimenter son atelier de vaches allaitantes Limousines. L'ensilage du méteil permet d'exporter les graines de ray-grass. Détail des rotations et mis en œuvre technique. Chambre régional d'agriculture d'Occitanie
Du méteil fourrager enrubanné pour assurer l'autonomie alimentaire et diminuer la pression adventice vidéoDans l'Aude, le Gaec Broma est passé en bio en 2016. Pour produire un aliment riche en énergie et en protéagineux pour sa soixantaine de vaches laitières, il sème un méteil de blé, vesce et pois qui est coupé et enrubanné début mai. Chambre régional d'agriculture d'Occitanie
Bertrand Rouquie, éleveur laitier autonome en protéines vidéoBertrand Rouquie, éleveur bovin laitier en Dordogne, est quasiment autonome en protéines pour produire 420 000 litres de lait dont 230 000 litres transformés en fromage. Avec un robot de traite et un parcellaire morcelé, les vaches sont alimentées quotidiennement par de l’herbe fraîche avec un affouragement en vert. La ration hivernale associe de la luzerne, du maïs et du lin avec un coût limité à 110 à 120 € les 1 000 l. Le concentré de colza est remplacé par du lupin autoproduit.Chambre d'agriculture de la Dordogne
Une appli pour mieux gérer ses prairies, top ! vidéoAntoine Thibault élève une soixantaine de vaches laitières et une cinquantaine de génisses dans l'Eure. Depuis un an, cet éleveur Youtubeur utilise un herbomètre et l'application HappyGrass. "Un pâturage bien mené, c'est moins de besoins de maïs à coût égal et moins de maïs, c'est plus de cultures de ventes. La promenade dans ses prairies par un petit matin de printemps pour évaluer ses stocks d'herbe fait partie des tâches les plus rentables de la ferme."Agriskippy la ferme les vaches
Des aménagements parcellaires au service de l'éleveur vidéoNicolas Rubin, éleveur laitier en Ille-et-Vilaine, témoignage des aménagements parcellaires qu'il a réalisé sur son exploitation. Enjeu permanent en production laitière de par sa configuration et son organisation, le parcellaire permet aux éleveurs d’optimiser la conduite du pâturage, d’améliorer le confort des animaux et les conditions de travail. Affectation des surfaces, découpage des paddocks, chemin, abreuvement, boviduc… tout un panel de solutions est possible.Chambre d'agriculture de Bretagne
L'autonomie en agriculture biologique vidéoJean-Michel Bouchard élève 95 vaches laitières jersiaises et prim'holstein en Isère. En bio depuis 2018, il cultive 100 hectares de prairies, 65 hectares de luzerne et 20 hectares de maïs-sorgho. "On essaie de travailler en autonomie", explique l'éleveur qui n'achète qu'une dizaine de tonnes de soja par an. En anticipant ses besoins, il parvient à s'approvisionner en semences bio. Semae
Mélanges protéagineux et autonomie protéique vidéoDeux éleveurs bovins laitiers du Jura et un éleveur bovin allaitant bio de Saône-et-Loire détaillent leur utilisation des mélanges céréales-protéagineux en grain. Des méteils intéressants pour l'autonomie, le rendement et la biodiversité.Chambre régionale d'agriculture de Bourgogne-Franche-Comté
Sécuriser son système fourrager en élevage laitier avec des mélanges céréaliers protéagineux vidéoAntoine Lebreton du Gaec du Verdais en Loire-Atlantique témoigne sur la conduite de ses méteils et des avantages qu'il y trouve. Son système laitier bio en zone séchante produit un million de litres de lait. L'élevage cultive quatre type de méteils ou mélanges fourragers.Chambre d'agriculture des Pays de la Loire
Un séchoir en Cuma vidéoLa Cuma des Volontaires s'est doté d'un grand séchoir à foin et à céréales pour assurer l'autonomie alimentaire et protéique des élevages en gardant la traçabilité des aliments. Les légumineuses, herbe, colza ou céréales des adhérents sont ventilés par un air réchauffé au soleil dans huit cellules différentes puis mis en bottes avant d'être réexpédiés dans les élevages.FRCuma Ouest (Luzco)
Sécuriser son système fourrager en élevage laitier avec des prairies sous couvert de méteil vidéoAymeric Sabin, éleveur de 65 vaches laitières bio en Mayenne, explique comment il a réussi à atteindre l'autonomie azotée grâce à la prairie sous couvert de méteil. Chambre d'agriculture des Pays de la Loire
Performances économiques et environnementales d'une ferme herbagère en Pays de la Loire vidéoEstelle est éleveuse de vache laitière en système herbager en Mayenne. Dans cette vidéo du Civam, elle nous explique ce qui fait la force de son système et ce que lui permet d’allier économie, autonomie et performance environnementale. « Dans mon système, j'ai pas mal de prairies que j'essaie de faire pâturer au maximum par mes 40 Normandes. Le système herbager me permet de réduire mes charges alimentaires, les frais de mécanisation, vétérinaires et de cultures. »Civam Pays de la Loire
Mélange de co-produits : un coup de boost pour la marge alimentaire vidéoLe Gaec de Grimaneau raisonne l'autonomie alimentaire à l'échelle du territoire par l'utilisation de coproduits issus de l'industrie alimentaire. Pour nourrir le troupeau de 115 vaches laitières et produire 1,1 million de litres de lait, les coproduits sont mélangés deux fois par an puis stockés en silo par voie humide. Avec ce mélange stable et économique, les résultats laitiers sont bons et l'élevage est autonome à 95 % à l'échelle de la région.Arpeege
Comment répondre à l'autonomie protéique sur les exploitations en polyculture-élevage ? L'exemple de l'exploitation agricole des Fontaines (71) vidéoL'exploitation agricole de Fontaines a modifié son système à base de maïs ensilage et achat de correcteur azoté pour réduire sa dépendance aux intrants. Les 70 vaches laitières montbéliardes sont désormais alimenté par de l'ensilage de dérobées riche en protéines. La ferme y voit des intérêts économiques, zootechniques et agronomiques. PSDR ProSys et PSDR Poeete
Gestion de prairies riches en légumineuses vidéoGrace au trèfle, Claude Thomas achète peu de concentrés pour ces vaches laitières et allaitantes. Ses prairies vosgiennes associent soit du ray-grass et du trèfle, soit un mélange multiespèce, soit du trèfle pur implanté sous un couvert d'avoine. De quoi faire rimer autonomie et économie. Autoprot
Comment récolter des fourrages riches en protéines ? vidéoPour garder la valeur des fourrages, il faut préserver les feuilles avec des faucheuses peu agressives, un conditionneur réglé sur la petite vitesse et un séchage rapide grâce à un large étalement de l’herbe coupée. Anthony Uijttewaal, responsable du pôle fourrages d’Arvalis Institut du végétal, rappelle que la récolte de foin ou d’ensilage est aussi un compromis pour garder un bon débit de chantier.Cap Protéines
Implanter des prairies sous couverts d’association céréales/protéagineux vidéoImplanter des prairies sous couverts d’association céréales-protéagineux permet d’éviter le salissement, de produire un fourrage supplémentaire et avoir une prairie qui prend le relais. Bertrand Daveau, ingénieur recherche et développement en agriculture biologique à la ferme expérimentale de Thorigné d’Anjou, explique que la prairie qui prend le relais sera disponible ensuite plus ou moins rapidement selon la pluviométrie et la date de récolte du méteil.Cap Protéines
Pourquoi mesurer la hauteur d’herbe ? vidéoMesurer la hauteur d’herbe permet de connaître la production de ses prairies et d’adapter le chargement et l’organisation du pâturage. Claire Douine du Ciirpo montre comment se servir d’un herbomètre, un outil rentable pour valoriser au mieux l’herbe.Cap Protéines
Des leviers pour améliorer l’autonomie protéique de la ration vidéoGrâce à l’herbe, on peut produire du lait avec des rations très économes en intrants. Hugues Chauveau d’Arvalis-Institut du végétal montre qu’un système tout maïs est carencé en protéines. En récoltant l’herbe au bon moment, on peut trouver le compromis entre le rendement et la valeur alimentaire des graminées et légumineuses.Cap Protéines
Comment bien implanter une luzerne ? vidéoPour implanter une luzerne, il faut d’abord choisir un sol basique et aéré. Riche en protéines, productive et avec peu de besoins en engrais, la luzerne supporte mieux la sécheresse que d’autres plantes. Elle permet aussi d’allonger les assolements et d’aérer les sols. Didier Deleau, ingénieur régional fourrage à Arvalis – Institut du végétal nous livre les nombreux atouts de la luzerne mais aussi ses limites. Le trèfle violet peut être une bonne alternative à la luzerne.Cap Protéines
Devautop, un outil pour calculer l’autonomie protéique d’un élevage vidéoDevautop est un outil pour estimer l’autonomie protéique d’un élevage en fonction des animaux présents sur l’élevage et des approvisionnements extérieurs. Lila Benadda, responsable de projet outils et références à l’Institut de l’élevage, explique que l’outil sera prochainement accessible sous format web. Simple d’utilisation, Devautop donne une série de bilans et de fourchettes de comparaison en une vingtaine de minutes.Cap Protéines
L’herbe de printemps, une herbe de super qualité vidéoFourrage équilibré en énergie et azote, l’herbe de printemps est un levier vers l’autonomie protéique. Stéphanie Guibert, chargée de mission prairie à la chambre d’agriculture des Pays de la Loire, recommande de découper ses parcelles pour garder au maximum une herbe jeune pour la fauche ou le pâturage.Cap Protéines
Quelle est la bonne hauteur d’herbe ? vidéoUn troupeau peut rentrer entre 8 et 10 cm et sortir avant d’attendre les 5 cm pour ne pas pénaliser la repousse. Claire Caraes, chargée de projets Prairies à la chambre d’agriculture de Normandie, montre aussi que l’herbe trop haute risque d’être piétinée et que sa valeur alimentaire se dégrade avec l’épiaison.Cap Protéines
Les éléments clés d’une saison de pâturage vidéoLes prairies offrent un fourrage de qualité toute l’année. Julien Fradin de l’Institut de l’élevage décrit les moments clés du calendrier de la pousse de l’herbe pour agir au bon moment. En pâturant puis en fauchant tôt au printemps, on évite le gaspillage d’herbe. En été, les légumineuses aident à compléter la ressource fourragère. En automne, on profite de la repousse d’une herbe de qualité souvent sous-estimée.Cap Protéines
HappyGrass, un outil d’aide à la décision sur la gestion des prairies vidéoHappyGrass est une application qui permet de mieux gérer la prairie et valoriser l’herbe. Antoine Leborgne, responsable commercial d’HappyGrass, détaille les fonctionnalités de l’outil smartphone. Les éleveurs peuvent s’abonner pour 4 ou 15 euros par mois. Un investissement qui permet de valoriser l’herbe au bon moment, d’avoir un meilleur rendement d’herbe et une plus grande autonomie protéique.Cap Protéines
Pois, féverole et lupin, des cultures qui contribuent à l’autonomie des élevages vidéoDirectement intégré dans la ration, les pois, féverole et lupin sont des atouts pour l’autonomie protéique des élevages français grâce à leur teneur en protéines de 21 à 40 %. Agathe Penant, ingénieure développement protéagineux et diversification à Terres Inovia, explique que, semées aux bonnes dates, dans de bonnes conditions et sans surdensité, les cultures de pois et féverole ne demandent pas trop d’interventions techniques.Cap Protéines
Les dérobées fourragères estivales vidéoLes dérobées fourragères estivales s’implantent de façon opportuniste entre deux cultures. Les cultures de sorgho, moha, millet, vesce, trèfle, colza, lablab, niébé (cow pea) ou teff grass augmentent le stock fourrager. Élodie Morand, ingénieure à Arvalis Institut du végétal, présentent des outils d’aides au choix et l’intérêt de ces cultures.Cap Protèines
Un long chemin vers la souveraineté protéique de la France vidéoEn valorisant davantage l’herbe et les fourrages, la France peut espérer réduire la part de protéines végétales d’importation.
Autour de la table :
- Jean-Marie Seronie, agro-économiste
- Laurent Rosso, directeur de Terres univia, l'interprofession des huiles et protéine végétales, et Terres Inovia, son institut technique
- Jean-Pierre Fleury, éleveur de bovins allaitants
- Dominique Viallat, éleveur bovin laitier autonome du Puy-de-Dôme.Cap Protéines
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