Des prairies riches en trèfle blanc et violet pour les chèvres laitières et les brebis allaitantes vidéoDans l'Aveyron, Germain et Virginie Albespy élèvent 300 chèvres et 130 brebis viande sur 68 hectares. Si la présence de maïs ensilage permet de sécuriser l’autonomie en fourrage grossier, l'autonomie en protéine n’est pas encore atteinte. La principale difficulté reste le sol acide et sableux du Ségala, peu adapté à la culture de la luzerne. Alors, le couple d’éleveurs adapte ses prairies à l'aide de mélanges multi-espèces qui placent le trèfle blanc et violet au centre de l'équation.Cap Protéines
Un pâturage dynamique et des dérobées pour une autonomie protéique vidéoDans le Calvados, Emmanuel Letellier élève 70 vaches laitières sur 115 hectares pour produire 457 000 litres de lait. Il cherche à produire des protéines à stocker pour l’hiver et à valoriser au maximum le pâturage en été. Il s’appuie pour cela sur les légumineuses, les trèfles en particulier, et sur le pâturage dynamique, piloté à l’œil ou à l’herbomètre. Il profite aussi de culture de dérobés (ray-grass italien, trèfles et vesce) entre les blés et le maïs.Cap Protéines
Pâturage des couverts végétaux en système céréalier bio vidéoPatrick Forget et son épouse élèvent une troupe ovine de 500 brebis sur une ferme céréalière bio de Charente-Maritime. Une opportunité pour consommer les couverts et pour valoriser les luzernes. Les brebis consomment les couverts végétaux des 130 hectares de l’exploitation et des 350 ha d’un Gaec voisin. « Il n’y pas de broyeur à mettre derrière et pas de mauvaises graines », apprécie l’agriculteur. Les brebis consomment aussi de la fèverole et du trèfle qui pousse sous couvert de céréales.Cap Protéines
François Dubois cultive l'autonomie protéique à la ferme vidéoFrançois Dubois élève des Charolais à Blet dans le Cher. Son système en bio l'amène à acheter le moins possible à l'extérieur : il est autonome à 92 %. Pour assurer la part protéique dans la ration, il cultive de la luzerne qu'il coupe précocement en enrubannage. La double période de vêlage permet de mieux s'organiser et d'étaler le travail de soins aux animaux. La sortie des animaux est ainsi plus étalée dans le temps et les ventes mieux réparties.Cap Protéines
Autonomie protéique et pâturage des chèvres vidéoAu Gaec des Cabrioles en Dordogne, Stéphanie Kaminski et Jean-Paul Predignac élèvent 150 chèvres bio sur 42 hectares. Défenseurs du pâturage des chèvres, ils produisent des fourrages appétents à base de luzerne, trèfle, sainfoin, vesce, sorgho ou herbe. Selon les saisons, les chèvres y pâturent 6 à 9 heures par jour au fil avant. Pour produire 900 kilos de lait par chèvre et par an, le Gaec distribue aussi un méteil grain à base de triticale, avoine, pois et féverole, à 17 à 18 % de MAT.Cap Protéines
Foin de luzerne, céréales et pâturage tournant pour un lait et des fromages 100 % locales vidéoÀ Alixan dans la Drôme, l’EARL les Pampilles cultive 14 hectares de luzerne, 6 hectares de prairies multi-espèces et 20 hectares de maïs, orge et blé pour nourrir les 120 chèvres saanen. L’objectif est d’être autonome en aliment. La luzerne est récoltée avec beaucoup de précaution pour garder des feuilles et une MAT de 18 à 20 % de MAT. Les chèvres pâturent au fil avant de fin février à fin septembre. Grace à l’irrigation, l’herbe reste verte et les éleveurs alternent pâture et fauche.Cap Protéines
« Brebis laitières : la gestion de l’herbe, pilier de l’autonomie protéique » vidéoÉleveur de brebis laitières en bio, Michel Rozé mise sur la gestion du stock et la qualité de son herbe pour renforcer l’autonomie protéique de l’exploitation. Il cultive des prairies multi-espèces riches en légumineuses tout en étant exigeant sur la récolte d'enrubannage ou de foin. Une mélangeuse permet d’optimiser la valeur alimentaire de la ration tout en économisant les correcteurs azotés. Avec environ 200 mères sur une SAU de 45 ha, Michel atteint une autonomie protéique de 83 %.Cap Protéines
« Une symbiose entre les ateliers végétales et animales » vidéoDans l’Indre, Gwen Parry élève 450 brebis allaitantes sans acheter d’aliments à l’extérieur grâce à 180 hectares, tout en bio. L’éleveur veut créer « une symbiose entre les ateliers de production végétale et l’atelier animal ». En plus des luzernes et des trèfles semés au printemps, il cultive de la féverole et du pois. En ingérant beaucoup de fourrages riches en protéines, les brebis ont une meilleure rumination, une meilleure santé et une production plus importante de lait pour les agneaux. Cap Protéines
Légumineuses, méteil et pâturage pour plus d’autonomie protéique du troupeau allaitant vidéoEn Haute-Loire, Bruno Ramousse élève 48 vaches allaitantes sur 78 hectares d’herbe, de céréales et de lentilles. Il a réduit le cheptel pour être autonome en fourrage à 100 % et en protéines à 92 %. Ses prairies multi-espèces sont riches en légumineuses. Il sème ses prairies sous couvert de méteil pour une implantation et une rotation plus rapide. Il compte aussi sur la luzerne enrubannée pour engraisser ses animaux. Cap Protéines
Associer autonomie maximale et résultats économiques vidéoEn Loire-Atlantique, le Gaec des Verdais produit un million de litres de lait avec 130 vaches et quatre associés. Pour Antoine Lebreton, « le Gaec vise une autonomie maximale grâce à des fourrages récoltées de très bonnes qualités ». Pour cela, il privilégie la qualité à la quantité en ensilant l’herbe tôt et en récoltant une partie du maïs sous forme d’épi. Le Gaec compte aussi sur le pâturage tournant et sur la production de luzerne déshydratée et de féverole extrudée.Cap Protéines
96 % d'autonomie protéique avec du pois, de la luzerne et un troupeau productif vidéoYoann et ses associés sont naisseurs-engraisseurs. Ils recherchent l’autonomie protéique et alimentaire pour plusieurs raisons : se dégager des revenus, être moins dépendants de l’extérieur, répondre aux attentes des consommateurs et ne pas acheter de concentrés et correcteurs azotés. Ils y parviennent grâce à leur travail sur leurs cultures (pois de printemps et luzerne), leurs prairies (trèfle) et leur troupeau (choix génétiques, productivité, âge au premier vêlage).Cap Protéines
Des brebis en plein air intégrale comme en Nouvelle-Zélande vidéoDans le Lot-et-Garonne, Jérôme et Joël Mandavy sont devenus des spécialistes de l’herbe et du pâturage. Les brebis sont calées sur le cycle de l’herbe avec des agnelages en février-mars. En hiver, un peu de foin est mis directement au sol (bale grazing). Ensuite, grâce à des clôtures efficaces et un réseau d’abreuvoirs, les brebis bio en plein air intégral changent de paddocks tous les jours. Un soin particulier est apporté aux prairies riches en luzernes, lotiers, chicorées ou trèfles blancs.Cap Protéines
Davantage de surfaces pâturées pour maîtriser les charges et gagner en autonomie vidéoEn passant en bio, la ferme des Cazelles a modifié son assolement en augmentant les surfaces pâturées par les vaches allaitantes. Autour des bâtiments, des paddocks de 40 ares sont pâturés pendant deux à trois jours par les 45 mères Blondes d’Aquitaine. En plus de ce pâturage tournant dynamique, la ferme a entrepris l’implantation de prairies multi-espèces et la culture de méteil et de luzerne dans un soucis de maîtrise des charges et d’autonomie fourragère et protéique.Cap Protéines
Gestion et valorisation du pâturage dans un élevage de brebis laitières de Lozère vidéoEn Lozère, Caroline et Charles André élèvent 434 brebis laitières sur 147 hectares. Si la principale raison de leur autonomie en protéines résulte des fourrages ventilés à base de légumineuses, le Gaec Salles André mise également sur le pâturage d’un mélange vesce-avoine, de prairies multi-espèces et des parcours durant les trois derniers mois de traite.Cap Protéines
Plus de légumineuses pour équilibrer les rations et diminuer les problèmes chez les veaux vidéoEn 2015, une épidémie de diarrhées d’origine alimentaire affecte les veaux de Fabien Tissier en Saône-et-Loire. « Je manquais de fourrage de qualité pour équilibrer mes rations », observe l'éleveur qui met en place le pâturage tournant afin de mieux gérer son herbe. Il incorpore plus de légumineuses dans les mélanges de ses prairies et récolte aussi des parcelles de méteil fourrager pour augmenter ses stocks de fourrages. Avec une meilleure alimentation, la santé des veaux s’est améliorée.Cap Protéines
La diversification fourragère, un levier d’autonomie pour les bovins allaitants vidéoPour Matthieu Longuet, jeune éleveur de Blonde d’Aquitaine dans la Somme, l’autonomie alimentaire et protéique doit passer par un gain de temps et une facilité de distribution tout en restant économique et viable sur la globalité de son exploitation. Il a fait le choix de développer les semis sous couvert de sainfoin ou de luzerne.Cap Protéines
La luzerne pour réduire les achats de tourteaux vidéoFranck et Fabien Beges sont éleveurs de bovins dans le Tarn. Au Gaec de la Grézigné, la luzerne est appréciée pour réduire la dépendance vis-à-vis du tourteau de soja. La plante est bien adaptée à la région et donne trois coupes jusqu’en juillet. Ensuite, elle est pâturée, une heure le matin et une heure le soir, pendant deux mois à l’automne. Econome en intrant, la luzerne a permis de réduire de 10 tonnes les achats de tourteaux pour un troupeau de 90 mères Blondes d’aquitaines.Cap Protéines
L’autonomie des brebis grâce à la luzerne et aux féveroles vidéoDans le Tarn, Émile Fabries élève 600 brebis allaitantes sur 120 hectares. Pour développer son autonomie protéique, il a augmenté la surface de luzerne et remplacé le tourteau de soja acheté par de la féverole. « C’est une culture simple à conduire et je me régale à entendre les brebis croquer les féveroles comme du gâteau ! » Le troupeau de brebis est autonome en protéines à 100 % et l’EARL Escarliot veut atteindre ce niveau pour l’élevage des agneaux.Cap Protéines
« La féverole et des fourrages de légumineuses pour alimenter mes brebis toute l’année » vidéoOlivier Brouard est autonome en protéines à 92 % grâce à la luzerne, aux trèfles, aux mélanges prairiaux riches en trèfle et à la féverole produite sur l’exploitation. De quoi nourrir les 250 brebis viande de cette exploitation de 328 hectares surtout tournée vers la culture des céréales et des oléoprotéagineux. Pour faire du bon foin de luzerne, l’agriculteur veille à andainer de bonne heure afin de garder les feuilles riches en protéines.Cap Protéines
Des chèvres autonomes en aliments pour réduire les charges vidéoChristophe Favard élève 200 chèvres sur 60 hectares dans la Vienne. Grace à la mise en place de différentes pratiques, il est aujourd’hui autonome pour l’alimentation du troupeau. L’implantation de prairies multi-espèces et la construction d’un séchoir en grange lui offrent des fourrages de très bonne qualité. Cela permet de réduire les quantités distribuées de concentrés autoproduits que sont le méteil, le maïs et la betterave.Cap Protéines
Des arbustes et des prairies adaptés aux six mois de saison sèche vidéoEn Martinique, les moutons du Foyer de charité pâturent des prairies adaptées au territoire. La saison sèche, appelée Carême, peut durer six mois, de janvier à juin. L’élevage a donc dû s’adapter en installant des espèces acclimatées et résistantes aux périodes arides. L’élevage a implanté des graminées il y a plus de 20 ans et, aujourd’hui, il possède une parcelle dite améliorées. Les brebis profitent aussi des protéines contenues dans les légumineuses arbustives.Cap Protéines
En Martinique, valoriser les protéines des légumineuses locales vidéoMarcel Hierso, fort de ses 30 ans d’expérience dans l’élevage bovin naisseur en Martinique, a implanté des légumineuses locales et importées. Grace à ces légumineuses tropicales, l’éleveur ne fertilise plus ses prairies. « Ce qu’il manque sur nos parcelles, c’est de la matière azotée. Il faut se diriger vers une amélioration de nos prairies pour avoir un maximum d’azote ». Cap Protéines
Des légumineuses fourragères à la Réunion vidéoL’EARL Fond Mango élève 60 vaches laitières sur 35 hectares à la Réunion. Comme ils ne peuvent pas cultiver de blé ou de soja pour produire des protéines, ils ont semé un mélange de légumineuses (luzerne et trèfle violet) et de graminées (fétuque, dactyle, ray-grass hybride) en remplacement du kikuyu. La prairie a perdu en pousse le premier hiver mais, maintenant, il permet de produire 23 kilos de lait par jour et par vache contre 18 kilos auparavant.Cap Protéines
Les feuilles des légumineuses préservées par un andaineur à tapis vidéoAvec 98 vaches Salers dans le Cantal, le Gaec de Combelles implante beaucoup de légumineuses pour équilibrer les rations. Pour le mélange de luzerne-dactyle, le déchaumeur passe juste après la récolte des céréales puis 15 jours après, avant le semis. La luzerne lève ensuite en septembre puis résiste bien à la sécheresse les années suivantes. Lors de la réalisation des foins, les fourrages sont manipulés avec un andaineur à tapis pour conserver au maximum les feuilles riches en protéines. Chambre d'agriculture du Cantal
Stocks sécurisés et autonomie protéique du cheptel de souche grâce à plusieurs fourrages complémentaires vidéoDans le Cher, Thomas et Maxime Combette ne veulent plus être dépendant des aliments du commerce pour alimenter son cheptel bovin allaitant. La ration tourne maintenant autour de la luzerne, du ray-grass d'Italie, de méteil et de maïs ensilage. Prés de 10 000 euros ont été économisés et les GMQ des laitonnes dépassent les 1 000 g par jour. Herbe & Fourrages CVL
Pierre Trémouille, éleveur de bovin viande vidéoPierre Trémouille, éleveur de bovin viande et de veau de boucherie en Dordogne, cultive 120 hectares d’herbe, 20 de luzerne et 20 de céréales, maïs ou méteil. Il a réduit le coût de la ration à 2 euros par animal et par jour en remplaçant l’achat de correcteur par l’implantation de luzerne et de mélange céréale-protéagineux. Les vaches allaitantes sont au pâturage du 25 mars au 1er décembre. Chambre d'agriculture de la Dordogne
L'autonomie en agriculture biologique vidéoJean-Michel Bouchard élève 95 vaches laitières jersiaises et prim'holstein en Isère. En bio depuis 2018, il cultive 100 hectares de prairies, 65 hectares de luzerne et 20 hectares de maïs-sorgho. "On essaie de travailler en autonomie", explique l'éleveur qui n'achète qu'une dizaine de tonnes de soja par an. En anticipant ses besoins, il parvient à s'approvisionner en semences bio. Semae
Achat de luzerne sur pied en élevage caprin vidéoPour nourrir leurs 90 chèvres, les deux éleveuses de l'EARL du Fay n'ont que 10 hectares en propre. Mais elle se sont entendus avec des cultivateurs voisins pour leur acheter près de 16 hectares de luzerne sur pied. De quoi produire un fourrage de qualité qui permet une production de 900 kilos de lait par chèvre et par an avec seulement 380 g de concentrés par litre. Le cultivateur s'y retrouve aussi agronomiquement. Herbe & Fourrages Centre-Val de Loire
Implanter à l'automne une légumineuse sous méteil pour sécuriser la production de l'année suivante vidéoDans le Loiret, Guillaume Gressin de l'EARL de la Chévrerie Les Pillards a commencé à implanter du trèfle sous couvert de méteil suite à une année de sécheresse. A l'automne, un premier passage permet de mettre les semences de triticales, vesces et pois à 2-3 cm de profondeur. Un second place les graines de trèfles violet en surface avant un roulage. De quoi produire du méteil de qualité au printemps puis des légumineuses par la suite.Herbe & Fourrages Centre-Val de Loire
Luzerne et bonnes performances d'engraissement vidéoDepuis qu'il a remplacé une partie du colza par des méteils et de la luzerne, le Gaec Bayard, dans la Meuse, produit une viande bovine "Made in Rembercourt". Lie-Loïc Bayard partage ses conseils pour semer, fertiliser, récolter et distribuer la luzerne. "La luzerne a des rendements corrects, même en année sèche, et la valeur alimentaire est assez régulière. Les performances sont les mêmes qu'avec une ration sèche à base de céréales et d'aliments du commerce ". Arpeege
Autonomie protéique en élevage bovin viande vidéoLe Gaec Vital rassemble trois frères qui élèvent 210 vaches allaitantes charolaises. Ils ont semé du trèfle incarnat dans du ray-grass hybride et pratiquent le pâturage tournant. Ce film a été réalisé en mai 2016 chez un éleveur vendéen, dans le cadre du programme SOS Protein.
Vegepolys Valley
Comment bien implanter une luzerne ? vidéoPour implanter une luzerne, il faut d’abord choisir un sol basique et aéré. Riche en protéines, productive et avec peu de besoins en engrais, la luzerne supporte mieux la sécheresse que d’autres plantes. Elle permet aussi d’allonger les assolements et d’aérer les sols. Didier Deleau, ingénieur régional fourrage à Arvalis – Institut du végétal nous livre les nombreux atouts de la luzerne mais aussi ses limites. Le trèfle violet peut être une bonne alternative à la luzerne.Cap Protéines
Un long chemin vers la souveraineté protéique de la France vidéoEn valorisant davantage l’herbe et les fourrages, la France peut espérer réduire la part de protéines végétales d’importation.
Autour de la table :
- Jean-Marie Seronie, agro-économiste
- Laurent Rosso, directeur de Terres univia, l'interprofession des huiles et protéine végétales, et Terres Inovia, son institut technique
- Jean-Pierre Fleury, éleveur de bovins allaitants
- Dominique Viallat, éleveur bovin laitier autonome du Puy-de-Dôme.Cap Protéines
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